Le cas de l’enseignante de l'école primaire de Saint-Marthe-sur-le-Lac, qui a terrorisé ses élèves pendant des années, ainsi que le cas l’enseignant de l’école secondaire Édouard Montpetit, révélé par le chroniqueur du 98.5 Frédéric Labelle mercredi matin, ébranlent les colonnes du temple de l'éducation au Québec.
Est-ce que ces «dénonciations» seront suffisantes pour enfin éliminer l’omerta?
Écoutez la Commission Normandeau-Ferrandez.
«La culture de l’omerta est bien implantée dans le réseau de l’éducation. […] On préfère se taire plutôt que de subir les conséquences liées à la dénonciation. Un prof qui ose dénoncer un de ses collègues, va vivre l'enfer...»
«Il manque de professeurs. Quand tu as un mauvais professeur, tu préfères mettre un mauvais professeur devant la classe plutôt que pas de professeur pantoute.»