De plus en plus de jeunes sont victimes de sextorsion, c’est-à-dire, de diffusion non consensuelle d’images intimes.
La chroniqueuse Marie-Ève Tremblay se penche sur la question, au micro de Philippe Cantin, vendredi.
Le Centre canadien de protection de l’enfance constate une augmentation des cas depuis la pandémie.
Pour faire de la sextorsion, des gens mal intentionnés démarrent une conversation avec quelqu’un en se faisant passer pour quelqu’un d’autre.
Ils réussissent ensuite à obtenir des photos intimes et se mettent à faire chanter la victime en demandant de l’argent ou d’autres photos. Sinon, ils menacent d’envoyer les photos à toute sa famille.
Marie-Ève Tremblay en a discuté avec René Morin, le porte-parole du Centre canadien de protection de l'enfance.
Ce dernier a mis en place le site internet Aidezmoisvp.ca, il y a quelques années.