À la suite du décès de la policière Maureen Breau à Louiseville, le 27 mars, l’Association des policières et policiers provinciaux du Québec demande une enquête publique.
On réclâme aussi que les policiers soient au courant de l’état mental d’une personne lors d’une intervention.
Écoutez Luc Ferrandez qui s’entretient à ce sujet avec Jacques Painchaud, président de l’Association des policières et policiers provinciaux du Québec.
«Nous voulons une révision législative des critères de décision de la Commission d'examen des troubles mentaux du Québec et ce afin de mieux assurer la sécurité de la population. Vous comprendrez que, pour nous, on a l'impression que les institutions chargées d'évaluer le risque ont une gestion du risque qui n'est peut-être pas connue des autorités et qui n'est certainement pas connue de la population. Il y en a trop de situations où des gens qui devraient être encadrés ou avoir un suivi, une tutelle, du moins pas en liberté se retrouvent parmi la communauté.»
«Nous voulons une révision législative des critères de décision de la Commission d'examen des troubles mentaux du Québec et ce afin de mieux assurer la sécurité de la population. Vous comprendrez que, pour nous, on a l'impression que les institutions chargées d'évaluer le risque ont une gestion du risque qui n'est peut-être pas connue des autorités et qui n'est certainement pas connue de la population. Il y en a trop de situations où des gens qui devraient être encadrés ou avoir un suivi, une tutelle, du moins pas en liberté se retrouvent parmi la communauté.»