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Propos de François Legault sur le drame d'Amqui

Santé mentale: «Je crois que c'était un aveu de stupeur» -Luc Ferrandez

Santé mentale: «Je crois que c'était un aveu de stupeur» -Luc Ferrandez
Les chroniqueurs de la commission Normandeau-Ferrandez / Cogeco Média

Dans la foulée du drame survenu à Amqui, le premier ministre François Legault demande aux gens «d’intervenir» lorsqu’ils constatent que «quelqu’un dans leur entourage […] montre des signes inquiétants». Malheureusement, si on se présentait à l’urgence ou au poste de police pour accompagner une personne qui nous inquiète mentalement, les chances de recevoir de l’aide sont quasiment nulles. 

Est-ce qu’on prend au sérieux les appels à l’aide des Québécois qui sont aux prises avec des troubles de santé mentale? 

Écoutez les chroniqueurs Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez, lors d'un entretien avec l'animateur Paul Arcand, mercredi matin.

«Est-ce que les services en santé mentale sont adéquats? Non. M. Legault a dit qu'il y a une responsabilité collective. D'accord. Mais, quelle est la responsabilité du gouverrnement? Je pense qu'il doit s'organiser afin que les citoyens aient accès à des services au moment nécessaire. La liste d'attente pour obtenir des soins en santé mentale ne fait qu'allonger...»

«Je ne pense pas que François Legault faisait une proposition. Je crois que c'était plustôt un aveu de stupeur. Le même aveu de stupeur qui a été répété cent fois par d'autres élus à travers le monde. […] Bien des dirigeants, dont Donald Trump, Emmanuel Macron et la première ministre norvégienne, ont dit la même chose au fil des ans.»

Plus avec Paul Arcand

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